Pour l'ouverture du championnat, le FENIX s'est incliné à domicile face à Saint-Raphaël 26 à 28 (mi-temps : 14-14), non sans avoir lutté avec le récent finaliste du Trophée des Champions. Mais les hommes de Gardent ont laissé échapper le match dans les dernières minutes.
Sevaljevic, endosse le costume de patron
La cruelle défaite de l’exercice précédent dans ce même Palais des Sports à la sirène était encore dans les têtes au moment d'attaquer cette saison. L'entame montrait que les Varois étaient déjà dans le rythme avec deux matchs officiels dans les jambes et leur puissance se faisait ressentir. De leur côté, les Toulousains proposaient une défense 5-1 inédite avec Nemanja ILIC en perturbateur des gabarits raphaëlois. Menés 7 à 4 puis 10 à 7, les locaux n'abdiquaient pas et pouvaient compter sur un omniprésent Vasko SEVALJEVIC (photo ci-dessus), auteur de 5 de ses 7 buts du soir dans le premier acte. L'autre recrue présente, Alvaro RUIZ SANCHEZ, n'était pas en reste et Toulouse grignotait son retard pour atteindre la pause sur un score de parité encourageant (14-14, 30e).
LE FENIX CRAQUE SUR LA FIN
Toujours dans les clous au retour des citrons (19-19, 40e), CALVEL et les siens connaissaient un passage à vide face au pragmatisme et le froid réalisme des visiteurs (19-22, 42e). Pas résignés, les Toulousains repartaient de l'avant avec PORTE et ILIC et recollaient une fois de plus. Et même avec un ZVIZEJ mis en échec et des gardiens en difficulté, le FENIX était là (23-23, 51e). Puis dans la même minute, trois décisions arbitrales contestables (mauvais bloc, 2mn et faute non sifflée) coupaient les dernières velléités aux hommes de Gardent qui ne pouvaient plus revenir (26-28, 60e). Et ce n'est pas le temps mort pris par Joël Da Silva à dix secondes du terme qui allait y changer quelque chose...
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